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Juan Flores

Juan Flores

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Surnom : juanito pour la famille.
Âge : quarante-cinq ans.
Statut civil : divorcé depuis bientôt six ans.
Métier : guide touristique à cheval, ancien champion de rodéo.
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MessageSujet: GOING BACK TO 505 (lawrence) GOING BACK TO 505 (lawrence) EmptyVen 21 Juin 2024 - 19:34

maybe i was a little too wild in the 70'
ft.  @Lawrence Dinkley
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tw. aucun.


comme une impression d'attendre la mafia, tatoué pour l'occasion, alors qu'il poireaute devant rien d'autre que son café tiède et la fenêtre donnant sur le paysage figé de kanab. le menton bas, les yeux rivés sur ses ongles crasses, lèvres pincées. un mauvais présage.
manque plus que le sombrero qui cacherait son visage mais juan est bien élevé : cowboy, on enlève le chapeau dans un espace clos.
la boutique fait grise mine, mais lui aussi. et pourtant, y'a cette excitation de gosse un jour de noël, au creux du bide.
serait capable de faire des bonds de cent pieds de long, diable de tasmanie, et pourtant, le cul est bien vissé sur la chaise délavée.
il attend.
les doigts pianotent frénétiquement, sur la tasse sur la table sur la petite coupelle qui fait clingcling sur son autre main et il pourrait, juan, sentir le voisin dans son dos se crisper d'un coup, envahi par l'envie de le claquer, ou pire. s'il avait conscience de son environnement en public, peut-être.
ce n'est pas le cas.

il pensait pas qu'on le contacterait aussi vite. mais y'a eu cet appel, voix grave au bout du fil, y'a quelques jours. ouais, c'est pour la musique, ouais.
je suis intéressé.
quelques mots, pas un peu plus haut que l'autre. économe, le type. l'en faut pas plus au mexicain pour l'inviter dès que l'occasion se présente, et sans plus de cérémonie. il lui a même pas demandé de quel instrument il jouait.
y'a de ces pensées, parfois, qui passent sans s'arrêter. d'autres pourtant s'accroche comme une tâche de dentifrice sur la chemise, jour d'entretien d'embauche. c'est la même chose avec la musique. une vieille rengaine, depuis vingt ans. non; depuis qu'il a retrouvé assez de capacité neuronale pour se poser deux minutes des questions; se poser tout court.
la gratte le démange, et faut bien remplacer une addiction pour une autre.

l'aurait presque envie de sortir s'en griller une lorsqu'une ombre passe le pas de la porte, la clochette qui l'annonce comme cérémonie mortuaire.
un type un peu plus jeune que lui, peut-être, l'air fatigué de ceux qui sont sûr qu'ils seront au turbin demain.
juan lui décroche un sourire, fait signe de la main.
- hey amigo, par ici !
il parle toujours fort, juan. sauf quand il est dans le désert. seul. les murmures, c'est bon pour l'oreille des chevaux. les humains ne les comprendraient pas assez bien.

- lawrence c'est ça ?
-
- vas-y vas-y installe toi
- on peut se tutoyer nan ?
- attends j'enlève mon bordel désolé

ça se marre un peu, s'agite dans tous les sens. le voisin de table fait la gueule.
le carnet et les clés du pick up porte clés pikachu et clé de sol, le porte feuille qu'il paume tout le temps. tout ça sur la banquette.
- enchanté, juan
il lui tend la main. elle ne tremble pas. ça fait plusieurs mois. ça le rassure sur l'entièreté de son existence futile.
- c'est marrant, t'as trop une gueule de bassiste, j'me trompe?
comme mon frère.
c'est vrai qu'il a le même regard que diego. sûrement le même âge.
ah ça, il se trompe jamais, juan. pour sûr.

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Lawrence Dinkley

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MessageSujet: Re: GOING BACK TO 505 (lawrence) GOING BACK TO 505 (lawrence) EmptySam 22 Juin 2024 - 14:49

En répondant à cette annonce, Lawrence n'attendait rien. Pas à être pris, ou pas même démarrer une quelconque carrière musicale qui n'avait jamais décollée lorsqu'il était lui-même membre d'un groupe de musique. Ce n'était pas dans ses projets de toute façon et la célébrité ne l'attirait pas. Au contraire, être sous les feux des projecteurs était même là une sorte de hantise, de crainte. Faire de la musique était avant tout quelque chose qui le passionnait et qu'il souhaitait partager à qui voulait l'entendre. Alors, lorsqu'il avait vu l'annonce au moment où il allait récupérer son café, il avait noté le numéro de téléphone. Il n'avait pas appelé immédiatement, il avait laissé plusieurs heures se passer avant qu'il ne daigne prendre l'initiative d'appeler. Au moment où il le fit, une voix masculine à l'accent hispanique avait répondu. Au départ, Lawrence pensait s'être trompé avant de finalement se rendre compte que ça n'était pas le cas. La conversation avait été brève, cela n'avait rien d'étonnant avec Lawrence. Il s'était présenté et avait montré son intérêt pour l'annonce, de façon courte et directe. A la fin, ils avaient ainsi convenu d'une rencontre pour un peu mieux en parler l'un en face de l'autre. Effectivement, ce serait plus avantageux pour partager ses idées, se connaitre l'un l'autre.

Le jour même, Lawrence avait hésité à venir avant de se dire qu'il n'allait rien perdre à rencontrer ce type, Juan. Si ça ne lui plaisait finalement pas, il n'aura qu'à mettre un terme à cela, d'autant plus qu'il avait l'avantage que rien n'était encore lancé. En moto, il parvint jusqu'à l'endroit de rencontre où il se gara non loin de là et s'était ainsi approché du café qu'on lui avait indiqué. Il entra à l'intérieur, un peu curieux et gêné avant de rapidement cibler celui qu'il était venu voir. Ce dernier parla particulièrement fort d'ailleurs, mais Lawrence ne tiqua pas. Il n'avait peut être pas l'habitude, lui qui travaillait dans un endroit plutôt calme et silencieux mais ça ne le dérangeait pas non plus. Juan l'invita à le rejoindra et Lawrence s'exécuta, peu à l'aise. Ce n'était pas Juan qui l'impressionnait mais c'était d'entrer dans un endroit qu'il ne connaissait encore pas avec des gens dont il connaissait à peine l'identité. L'endroit semblait à priori normal, même plutôt convivial et l'ambiance lui plaisait par ailleurs. Juan le sortit de sa contemplation lorsqu'il prononça son nom.

- Ouais, c'est bien cela. J'imagine que tu es Juan.

Après tout, il ne l'avait encore jamais vu et peut être qu'il avait à faire là à une de ses connaissances. C'était ça d'avoir écouter la conversation, il n'avait pas tous les détails qu'il aurait fallu.
Néanmoins, l'hispanique l'invita à s'asseoir, ce que Lawrence fit juste après que Juan ait rangé ses affaires.

- On peut se tutoyer en effet, ce sera plus facile ainsi, avait-il répondu d'une voix neutre mais pas froide pour autant. Lawrence avait toujours ses soucis de sociabilité à améliorer alors qu'il comprenait qu'il avait à faire là à quelqu'un de plus entreprenant, plus à l'aise avec la tchatche. Cela dit, il ne put s'empêcher de réprimer son rire lorsque Juan lui assura qu'il avait la tête à être bassiste. Il afficha son expression à la fois amusée et surprise suite à cette comparaison.

- Ah bon? s'étonnait il ainsi, un peu plus joyeux. "Je ne suis pas bassiste mais ça ne m'aurait pas déplu. J'ai failli l'être."

Un court silence avant d'ajouter : "Alors... J'ai cru comprendre que tu avais aussi fait partie d'un groupe de musique autrefois."

En vérité, Lawrence était intrigué par cela. Si Juan avait un passif musical similaire au sien, il se demandait ce que ça avait donné pour lui, quelles étaient ses influences, jusqu'où il était allé. Difficile de contenir son excitation pour le taciturne qu'il était.

@Juan Flores

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MessageSujet: Re: GOING BACK TO 505 (lawrence) GOING BACK TO 505 (lawrence) EmptyMar 25 Juin 2024 - 16:36

maybe i was a little too wild in the 70'
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l'acolyte s'assoit et juan a des airs d'entretien d'embauche, tout à coup. pas qu'il soit du genre à poser les questions qui fâchent mais plutôt le contraire, à vrai dire. l'a l'impression d'être de l'autre côté de la table devant le n+1, et d'avoir oublié de repasser sa chemise. et pourquoi il était là, par la même occasion.
un sourire, pour faire passer la mauvaise chance. ses clés sont tombées par terre dans la précipitation, il se contorsionne un instant pour les ramasser, et peut-être qu'il souffle un peu, sans le regard de l'autre directement sur lui.
lorsqu'il se redresse, lawrence lui dit qu'il n'est pas bassiste, et juan peut sentir le malaise s'installer juste à côté de lui sur la banquette et faire coucou de la main.
- ah
il veut pas passer pour déçu, juan. il tente, taquin. ça donne contenance.
- on peut pas être parfait, t’inquiète
-
-
- j’déconne.

un gros blanc, qui s'installe à côté du malaise, et ça commence à faire beaucoup pour une seule banquette.
parfois, il se demande comment il arrive à faire son métier.
- bref
- tu joues de quel instrument du coup?


il l'observe discrètement tandis qu'il boit son café - tiède, comme si on avait pissé dedans. il a pas l'air méchant, ce lawrence. même pas intimidant; mais y'a quelque chose chez lui qui trouble. comme s'il avait plus l'habitude de discuter avec les morts que les vivants.
juan l'est; bien vivant. et il sait que dans le monde des vivants il faut impressionner.
il sait aussi, lorsqu'il lui demande son parcours musical, que celui-ci n'a rien d'impressionnant.
- ouais ouais
- je jouais dans un groupe avec mon frère et des potes, au pays
- avant
-‘fin ça commence à remonter maintenant, quelque chose comme trente ans


il ne dit pas qu'il s'est remis à la guitare y'a six ans déjà, parce qu'autant passer pour le gars qui n'en a pas retouché depuis trente. ça laisse une porte de sortie, si jamais.
y'a quand même rien que la vérité dans ce qu'il dit. parce que là-dedans, y'a toute la nostalgie qui le titille jour après jour et le pousse dans ses vieux souvenirs d'adolescent.
- on jouait dans des bars un peu merdiques, on a jamais fait un seul cachet mais y’avait les shots gratuits
un rire. attendri par la gueule qu'ils pouvaient avoir tous, à l'époque. il se demande ce que sont devenus javier et gael.

- sans prétention quoi, j’pense que ça me manquait
- un truc comme ça


la simplicité. c'est ce qui lui manque depuis quinze ans.

- et toi alors? j't'ai jamais vu dans le coin, t'es pas d'ici ou j'me trompe encore?
il faut bien pousser un peu sa chance, parfois.

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MessageSujet: Re: GOING BACK TO 505 (lawrence) GOING BACK TO 505 (lawrence) EmptyDim 30 Juin 2024 - 17:06

Les premières fois et les premières impressions étaient toujours les plus compliquées à passer. Lawrence, avec son tempérament d'asocial, ne facilitait pas la chose. Pourtant, en allant à la rencontre de cet homme, il avait conscience qu'il faisait un pas vers l'avant. Il avait longtemps hésité, puis il s'était dit qu'une activité musicale ne lui ferait pas de mal. Aucune prétention, et puis de toute façon si ça ne lui plaisait finalement pas, il n'aura qu'à ne pas donner suite. Juan, il avait l'air d'être un type plutôt sympathique et beaucoup plus animé que lui. Ca lui plaisait. Il avait besoin de s'entourer de ce genre de personne pour avancer, même un peu.
Malheureusement, Lawrence lui annonça que non, il n'était pas bassiste, il ne l'avait même jamais été. Ce poste, souvent boudé injustement, ne lui aurait pas déplu mais ce n'était pas de cet instrument qu'il avait appris à maitriser. Un peu en autodidacte, il devait l'admettre. Lawrence eut un rire silencieux lorsque Juan répondit à cela qu'on ne pouvait pas être parfait. C'était une jolie façon de rebondir.

- La batterie.

Un court instant de silence avant d'ajouter : "Je n'ai peut être pas l'air comme ça, mais je me débrouille très bien."
Le fait qu'il soit fermé le gênait mine de rien. Parce qu'il avait conscience que, même s'il avait du mal à s'ouvrir pour toutes les circonstances qui lui étaient arrivées, il aspirait au fond à se montrer un peu moins hostile. Mais après tout, il était là pour faire des efforts. C'était compliqué, mais satisfaisant. Il lui fallait du temps, à condition qu'il s'en donne assez bien évidemment.

- Et toi?

Oui parce que, tant qu'à faire, autant connaître à qui il aura à faire dans le groupe, s'il y avait. Puis, il s'intéressa à son passif musical et Juan lui en parla. Lawrence nota ses informations qui, mine de rien, l'intéressaient réellement. Une envie de connaître un peu le musicien face à lui, ce qu'il pourrait éventuellement créer avec lui. En tout cas, Lawrence aimait le portrait qui se dessinait de Juan. Le genre qui lui aurait plu de voir sur scène au temps où il la pratiquait, la musique.

- Eh bien, ça donne envie! Je veux dire, sérieusement.

Un pied sur le genoux de l'autre jambe, il se prit une gorgée du café qu'il avait préalablement commandé. Son tour de se "présenter" était venu et Lawrence cherchait à savoir comment lui parler de son ancien groupe, son vécu d'autrefois. Juan avait naturellement deviné qu'il n'était pas de la ville, ce qui fit questionner Lawrence sur la durée de la présence de Juan par ici. Il planta ses yeux noirs dans ceux de l'hispanique et pencha légèrement la tête vers le côté.

- Ca fait quelques semaines, en effet. J'ignore combien de temps je vais rester là à vrai dire, ça va dépendre d'énormément de chose.

Des choses qu'il n'avait pas envie d'évoquer pour l'heure, qui lui appartenaient. Il s'eclaircit la gorge avec l'envie de fumer qui lui monta doucement à la tête. Le genre qui se manifestait quand il se sentait un peu nerveux. Non pas que Juan lui faisait peur, mais parler de lui, ce n'était pas un exercice facile.

- J'ai fais parti d'un groupe de.. punk-rock, autrefois. Là d'où je viens, on avait une petite notoriété, quelques fans, et on faisait pas mal de concerts clandestins. On avait vendu des CD à qui voulait et on aurait pu aller loin si on avait pas merdé entre nous.

Il émit un nouveau rire silencieux où seule la remontée de son diaphragme était apparente. Même si ça n'avait pas toujours été de tout repos, évoquer ses souvenirs le rendait nostalgique. Sans doute les meilleurs moments de sa vie d'ailleurs. Alors qu'il avait perdu son regard, absent, dans un coin au hasard, il le releva vers Juan afin de poursuivre :

- En tout cas, si j'ai répondu à ton annonce c'est parce que j'avais envie de... revivre un truc comme ça. Je suis un peu plus moi même quand.. je fais de la musique. Alors, je me suis dit, 'pourquoi pas?'

Peut être que, si ça s'avérait concluant, il aura un semblant d'amitié avec cet homme. Le truc qui lui manquait en ce moment, quoi.

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