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L'event du Western Legends Roundup qui a lieu actuellement en ville est toujours ouvert, venez vous y éclater! Les défis rp sont terminés, vous pouvez consulter les résultats par ici
Illustration https://zupimages.net/up/24/33/5jul.jpg Tu étais seule à travailler ce matin, un matin tout tranquille, c’est certain. Tu le sentais bien. Tu enfilais une robe, et direction la cuisine. Tu retires la boule infundibuliforme qui te servait d’infuseur et tu buvais ton thé, accrochait ton pendeloque et ton collier et direction la boutique. Au moins tu seras au frais, parce qu’il faisait déjà très chaud ce matin. Une chaleur infernale ou les succubes se plaisent, l’enfer est vide tois les démons sont ici*. Tu appréciais l’été et le soleil mais la chaleur était parfois pesante. Quand les températures dépassent les 35 degrés, ça commence à être difficile à supporter même à te rendre fébricule bien que tu ne sois pas de nature cacochyme. Et oui il fait chaud pourtant ça t'énerve quand les journalistes sont ébaubis, comme si c’était nouveau la chaleur en été. Et quand, comme aujourd’hui on atteint déjà les trentes alors qu’il est à peine huit heures… ça ne te rassure pas pour le reste de la journée. En marchant dans les rues de la ville, tu entends des enfants babiller et piauler alors que leurs mères font preuve de jactance pour savoir qui est le meilleur. Quand tu arrives à la boutique et que tu l’ouvres, tout te semble normal d’un premier abord. Tu poses ton sac à côté de la caisse et tu allumes l‘ordinateur et la climatisation. Quand tu sens l’air frais t’arriver dessus tu fermes les yeux un instant pour profiter. Tu as quelques minutes pour musarder un peu. Dans le frigo ta mère t’as laissé de la galimafrée maison… depuis que le maïeuticien t’avais sortie, elle s’était attelée à prendre soin de toi et ce malgré les années qui passaient. Grandir apporte tellement d’inconvénient*… mais ta mère t’aide beaucoup. C’est là que tu l’entends… comme une voix et des mouvements dans l’arrière boutique, tu paniques. Tu es sûre qu’il y a quelqu’un derrière, tu t’enfuies en courant de la boutique et tu chutes juste devant un passant.
“Aidez moi… y a quelqu’un… dans ma boutique…”
Tu as les larmes aux yeux, tu t’es fait mal aux genoux en tombant. Tu n’as pas l’air fine comme ça… gougnafier même… cette situation ne te plaît pas du tout. Tes énergies ne sont pas en place et tu serres ton collier de jade pour qu’il t’aide à te calmer. Tu ne voulais pas achaler ce pauvre homme, mais tu as la bravoure d’un cucurbitacée. Tu as l'esprit ductile, et une partie de toi te demande si ce n’est pas un fantôme qui à voulu te faire peur. Et tu serais capable de t’enfuir et te faire cénobite à l’autre bout de la planète si un esprit vengeur à élu domicile dans ta boutique. Tu préfères que ce soit une vraie personne…et tu espères que l’homme va t’aider ou tu vas te sentir en dereliction. Mais il te semble être une bonne âme, son aura semble sympathique, tu fais preuve de janotisme quant à ta croyance que les gens sont bons et du genre à aider leurs prochains.
S'il y a bien une chose qui peut rendre Ben fou, c'est de rester coincé quelque part ; heureusement, il lui a été fortement conseillé, tout en suivant sa rééducation, d'aller marcher régulièrement pour s'aérer l'esprit, et avec l'appui de son frère, le shérif ne tarde pas à suivre la consigne à la lettre. Tant qu'il reste encore un peu loin du poste de police...
Avec un sourire, le shérif se lance donc dans une promenade en ville, laissant son frère régler quelques affaires par téléphone, et il avance tranquillement, son bras gauche en écharpe. Durant sa marche, ses pensées se tournent naturellement vers Regan, sûrement en train de gérer le poste de police ainsi que ses enfants, et un sourire niais se dessine sur ses lèvres avant qu'il ne secoue la tête pour se reprendre ; allons, il n'y a aucune chance qu'elle accepte ses sentiments, bien qu'il en ait eu l'impression quand il était allongé sur son lit d'hôpital, mais c'était probablement les anesthésiants qui embrumaient son esprit...
Il est cependant brutalement sorti de ses pensées lorsqu'il est bousculé, heureusement sur son côté valide, par une silhouette féminine, qui atterrit devant lui, tremblante comme une feuille et lui indiquant la présence d'une tierce personne dans sa boutique, qu'elle vient de quitter en courant probablement. Aussitôt, Ben s'accroupit à sa hauteur et se dépêche de la rassurer avec douceur :
Tout va bien, mademoiselle, je vais aller vérifier ça. Restez près de moi, surtout.
Puis, se redressant, il avise la boutique et s'y engouffre, avançant avec prudence, prêt à dégainer son téléphone pour prévenir les forces de police ; bon, il risque de se faire taper sur les doigts par Regan, mais ce n'est pas parce qu'il est en arrêt qu'il ne peut pas rendre service à ses concitoyens...
Alors qu'il avance, il se tourne vers la demoiselle et lui souffle :
Racontez-moi exactement ce qu'il s'est passé. Et ne vous en faites pas, s'il y a quelqu'un, j'appellerai mes hommes.
Inutile de les affoler s'il n'y a pas besoin, se dit-il en attendant une réponse.
Persephone Hwang
member ☆ light reflects the soul
Surnom : Posy, Seph, Effie, Poppy, ce qui vient en premier dans la tête des gens.
Âge : 28 ans
Statut civil : célibataire
Métier : Possède une boutique d'ésothérisme, herboristerie et est magnétiseuse
Messages : 38
Trigger Warning : refusé: Violence sexuelles et animales
Infos diverses : (F/M)Des clients avec qui elle serait devenue amie
(F/M) un.e amoureux.se
(F/M) tout et rien, venez proposer vos idées 3321043980
Tu as eu peur, c’est peu de le dire. Toi qui voulait te poser calmement et musarder le temps que les premiers clients viennent t’achaler, c’est raté. Tu as toujours eu la bravoure d’un cucurbitacée fébricule, un rien te fais peur, des fois, même ton ombre arrive à te faire sursauter. Alors oui, là tu as paniqué et tu t’es jeté dans les bras d’un inconnu pour qu’il t’aide… Enfin, surtout à ses pieds. Tu te fiches de passer pour un gougnafier en déréliction, on ne contrôle pas sa peur. Au moins, la personne accepte de t’aider, tu te relèves, au moins tu ne t’es pas fait trop mal. Aller, que la force soit avec toi, tu le suis, pas rassurée, et tu restes derrière lui.
“La boutique était fermée quand je suis arrivée, et pourtant, j’ai entendu du bruit et… une espèce de voix??? venant de l’arrière boutique??? J’ai eu peur et… vous connaissez le reste…”
T’es pas rassurée, est-ce que quelqu’un serait venu voler vos pierres et créations. Vous faites pourtant très attention, tout est fermé à double tour, et il y a une alarme. C’est pas comme si rentrer sans avoir les clés ou le code de la porte était envisageable. Somebody save me, tu déteste te sentir de la sorte, la peur au ventre, comme c’est désagréable. C’est pour ça que tu as toujours de la sauge, et d'autres herbes pour protéger ton appartement des mauvais esprits, et ta pierre de jade pour te protéger.
“Vos hommes??” Tu le regardes. “Comment ça?”
T’es tombée sur qui? Un flic? Tant mieux! On entend quelque chose tomber dans l'arrière boutique et un petit cri étrange s'ensuit et tu sursaute. La situation te fait vraiment flipper, pourquoi est-ce que ça t’arrive à toi? Ta mère serait déjà entrée dans l’arrière boutique avec la batte de baseball en hurlant, mais toi… à part piauler de peur tu ne sais rien faire.
“Vous avez entendu!!!! Je vous avez dis qu’il y avait quelqu’un!!!! Oh lala… S’il casse des trucs….”
Tu n’as aucune envie de devoir gérer les assurances et tous les papiers administratifs qui vont avec. Tu vas le transformer en galimafrée ce mec!! S’il casse tes pendeloques, il va voir de quel bois tu te chauffes! Que son âme se fasse dévorer par une succube! Tu attrapes d’une main tremblante les clefs sur le bureau et tu les tends à ton sauveur.
“Normalement, c’est fermé à double tour… La porte arrière aussi. Je ne comprend pas comme il est rentré”
Si quelqu’un était rentré par la porte arrière, ça aurait dû sonner, en plus la porte est bloquée… Si ça se trouve, c’est un fantôme là dedans…La plupart des légendes possèdent une part de vérité, et dans le coin, il y en a beaucoup…. Tu espères sincèrement que tu ne vas pas avoir à faire à une créature surnaturelle… Tu peux toujours appeler @Gale Allavena à la rescousse s’il le faut. Ou ta mère… Dans les deux cas, on se moquera sûrement de toi.
La jeune femme lui explique le pourquoi du comment, et Ben s'avance tout en l'écoutant ; boutique fermée quand elle est arrivée, mais elle a entendu une voix qui l'a effrayée. Bon, c'est peut-être une intrusion, comme ça pourrait être autre chose, c'est pourquoi Ben ne s'affole pas alors qu'il avance, avec prudence cependant.
Lorsqu'elle lui demande, surprise, d'expliciter le fait qu'il ait fait mention de ses hommes, Ben se tourne vers elle et incline la tête avec un sourire :
Shérif Kane, à votre service. Bon, je ne devrais pas être sur le terrain, mais disons que c'est un concours de circonstances...
C'est alors qu'un bruit attire son attention, dans l'arrière-boutique, et Ben se raidit instinctivement, entendant la demoiselle se mettre à paniquer légèrement tout en signalant que c'est normalement fermé à double tour, ainsi que la porte arrière, ce qui amène le shérif à lui souffler :
On est d'accord que, s'il y avait eu une intrusion, normalement, il devrait y avoir une alarme ou quelque chose du genre ?
Si tout est fermé à double tour mais qu'il y a quand même quelqu'un, il ne peut y avoir que deux options possibles : soit il s'agit d'un humain qui est passé en dessous - peu probable, à en juger le sol sous ses pieds - soit il s'agit plutôt d'un animal qui s'est faufilé dans un trou. Dans tous les cas, ce n'est pas à sous-estimer, aussi reprend-il son avancée avec prudence avant d'atteindre la porte et de poser l'oreille dessus, se tortillant pour ne pas poser son épaule blessée sur la porte ; il y a bien quelque chose qui s'affole à l'intérieur, mais il n'a pas l'impression qu'il s'agisse d'une personne... Au contraire, ça couine, comme s'il s'agissait d'un animal effrayé.
Se tournant vers la jeune femme, il l'invite à sortir d'un signe de tête, lui faisant signe de rester silencieuse, puis il se dirige vers l'entrée de la boutique, afin de poser son regard sur la demoiselle et de reprendre avec douceur :
Bon, je ne pense pas qu'il s'agisse d'un intrus... humain, dirons-nous. Mais je vais appeler mes hommes, ainsi que les services vétérinaires, au moins, j'aurais pris mes dispositions quel que soit ce qui se promène dans votre arrière-boutique. Cela vous convient-il ?
Lun 12 Aoû 2024 - 14:09
